Alors que l’espace public représente un enjeu considérable du vivre ensemble, la publicité sous toutes ses formes poursuit son envahissement.
Le champion reste incontestablement Decaux qui truste le mobilier urbain et profite de plus du contrat Vélib’ pour décrocher d’autres contrats dans les grandes villes françaises et étrangères.
Il n’est pas le seul et l’apparition d’Autolib’ offre à un autre grand groupe une opportunité extraordinaire de communiquer en profitant d’un contrat municipal.
Un excellent article publié sur le non moins excellent site Métropolitiques analyse avec finesse les enjeux de cette privatisation particulièrement importante à Paris.