Une telle phrase dite par un écolo n’a rien de surprenant.
Mais quand c’est une journaliste de Marianne qui le dit, cela mérite qu’on s’y arrête un peu plus.
Dans un très bel article Christine Clerc souligne à quel point Eva Joly est victime du sexisme ordinaire qui règne en politique (et dans les médias) et à quel point elle soulève les questions qui devraient être au coeur de la campagne.
Face aux approximations et déformations du Monde sur les questions environnementales le contraste est saisissant.
Merci Madame Clerc, vous faites honneur à la profession.