Une zone bien connue des navigateurs. Une zone dans laquelle on peut disparaître sans laisser de traces.
Est-ce l’avenir promis à ce projet fumeux que la Mairie de Paris voudrait faire passer en force malgré des vents contraires de plus en plus nombreux et forts.
Après l’effondrement des projets ici ou là, voici que Le Monde sonne l’hallali. Pas moins de 124 projets déjà abandonnés parmi ceux qui étaient les plus avancés.
Pendant combien de temps la Mairie de Paris et son associé Unibail vont-ils encore nous jouer l’air de « tout va très bien madame la Marquise » ?
Par exemple la santé financière d’Unibail serait excellente. Il suffit d’aller sur n’importe quel site internet pour constater l’effondrement de la capitalisation boursière de ce groupe et de voir que cela n’a pas débuté avec la crise, mais bien avant.
Je ne résiste pas au plaisir de vous offrir un moment de détente et de vérité : le compte rendu des séances de soi-disant concertation vues sur le site cyberarchi.
Vivement que ce projet disparaisse dans l’oubli le plus total, comme ont disparu les projets les plus dangereux pour Paris de la période Pompidou.
Je me souviens que Chirac rêvait d’une autoroute souterraine sous Paris (ce projet s’appelait-il Arc Express ?). Heureusement que ça n’a jamais vu le jour. Qu’en ferions-nous aujourd’hui ?