Aujourd’hui, c’est Arcelor qui est soupçonné de se débarrasser de ses déchets polluants à moindres frais et en ne respectant pas la législation. Hier, c’était Metaleurop, avant hier Kodak (à Vincennes). Et tant d’autres que nous ne connaissons pas. Malheureusement.
Sur Streetreporters, ils osent en parler. Mais voilà le résultat : leur journaliste se fait presque raccrocher au nez chez l’industriel. Et comme souvent, seuls les écologistes réagissent et dénoncent. Retrouvez mon intervention et l’avis de France Nature Environnement ici.